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Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Accueil de groupes, Région de Marseille, Gestion de tiers-lieux, En cours, Hébergement social et insertion, Non classifié(e)

Les Coudes Sur La Table Paris Publiée le 15.05.25

Fête de l’alimentation solidaire, 2ème édition 🥳

🗓️ Le dimanche 8 juin, de 9h à 18h, la joyeuse équipe est heureuse de vous retrou­ver devant l’Académie du Cli­mat, sur la Place Bau­doy­er (Paris 4) pour une sec­onde édi­tion des Coudes sur La Table qui s’inscrit cette année dans le Fes­ti­val du Mieux Manger ! La Com­mu­nauté Ecotable, Yes We Camp et l’ensemble de leurs parte­naires s’associent à l’Académie du Cli­mat pour célébr­er l’égalité dans l’assiette !

Autour d’un grand ban­quet sol­idaire, rassem­blant vis­i­teurs et béné­fi­ci­aires de l’aide ali­men­taire, nous con­coc­tons une journée entière pour ren­dre l’alimentation durable acces­si­ble et fes­tive.

✨ Au pro­gramme : cui­sine à mille mains, ren­con­tres, con­certs, danse et plein d’autres sur­pris­es… De quoi en met­tre plein l’assiette et plein le cœur ! Les détails arrivent, restez dans le coin 🥟🥕🫛🥖

Les associations partenaires

Cette année, les asso­ci­a­tions qui œuvrent toute l’année pour l’égalité dans l’assiette vous font cuisin­er : dès le matin, mille mains pour des mil­liers de ravi­o­lis des ami.e.s.

Et 400 bouch­es pour les engouf­fr­er au déje­uner ! Les asso­ci­a­tions qui cuisi­nent pour vous et avec vous :

🍛 La Chor­ba : une cui­sine généreuse qui dis­tribue chaque jour des cen­taines de repas avec dig­nité et chaleur.

🧄 La Com­mu­nauté Ecotable avec Chez Gha­da : des saveurs syri­ennes au ser­vice du partage et de l’inclusion.

🔥 Le RECHO : un pro­jet sol­idaire qui œuvre depuis 2016 pour un accueil digne des per­son­nes exilées en France et en Europe grâce au pou­voir de la cui­sine

🥗 Les Petites Can­tines : des can­tines de quarti­er où chacun·e met la main à la pâte et à la table, pour retiss­er du lien local.

🍲 Des Étoiles et des Femmes : la pas­sion culi­naire de femmes de quartiers pri­or­i­taires se trans­forme en com­pé­tence pro­fes­sion­nelle grâce à cette équipe emplie de générosité

 

Le Recho, Les Petites Can­tines, Des Etoiles et des Femmes, Chez Gha­da, La Chor­baMou­ve­ment Restau­re, Refugee Food Joyons
Le GR1, La Dou­ve Blanche Fes­ti­val

Avec le sou­tien de Ville de Paris, Audrey Pul­var, Anne Hidal­go et Eau de Paris

Les 5 visages de l’alimentation solidaire

Qu’iels soient restaurateur.ice.s, cuisinier.e.s, producteur.ice.s, bénév­oles ou usager.e.s de nos lieux, tou­stes à leur manière con­tribuent au développe­ment de l’alimentation sol­idaire. La réponse à la pré­car­ité ali­men­taire demande le déploiement d’une véri­ta­ble chaîne humaine : nous don­nons ici la parole aux dif­férents mail­lons de cette chaîne.

Alix Gerbet a co-fondé le RECHO, une structure regroupant un service traiteur, un restaurant et une association qui œuvrent depuis 2016 pour un accueil digne des personnes exilées en France et en Europe grâce au pouvoir de la cuisine.

Pour toi, quel a été le déclic ? 

En mai 2016, un souci de san­té un peu costaud me pousse à faire une pause et je ren­con­tre Vanes­sa Krycève, qui s’apprête à lancer LE RECHO. Le com­bo par­fait, pour pren­dre mon courage à deux mains et me lancer au ser­vice d’un pro­jet qui relie ce qui m’anime : la cui­sine, le lien humain et la jus­tice sociale. Depuis, je milite à coups de fourchette.

Cuisin­er pour créer du lien, répar­er, inclure : manger est un acte citoyen. Et le plus beau dans tout ça ? C’est que ça marche.

De quoi es-tu fière au RECHO ?
En 2016, on était sept femmes avec des casseroles et un food-truck. Aujourd’hui, c’est trente per­son­nes, une asso­ci­a­tion et une entre­prise d’insertion, 35 000 repas/an, 32 salarié·es en inser­tion for­més dans nos équipes depuis 2020.
Une cui­sine bio, éthique, triple­ment labélisée Écotable et surtout un mod­èle économique viable. En 2024, on a bouclé notre pre­mier exer­ci­ce équili­bré. Et tout ça en créant du lien, de la dig­nité, du col­lec­tif.
La preuve que la sol­i­dar­ité peut aus­si rimer avec rigueur, ambi­tion et plaisir.

Si tu avais une baguette mag­ique, qu’est-ce que tu voudrais voir chang­er ?
Je ferais en sorte que chacun·e puisse ressen­tir ne serait-ce qu’un dix­ième de ce qu’on vit depuis 2016 en étant sur le ter­rain à tra­vers nos ate­liers de cui­sine. Pour que cha­cun puisse voir naître du lien humain, de la dig­nité, de la joie — même dans des con­textes d’exil, de pré­car­ité ou d’oubli. Ce n’est pas théorique : c’est réel, puis­sant, trans­for­ma­teur.

Alors venez voir. Cuisinez avec nous. Engagez-vous, même un peu. Vous ver­rez : la sol­i­dar­ité, ça se ressent. Et ça change tout.

Depuis 1954, la Ferme de Viltain (78) produit des yaourts au lait de vache. Benoît Dupré, Guillemette et Olivier des Courtils ont pris la décision de livrer leurs surplus à La Chorba, une association humanitaire agissant contre la faim et l’exclusion sociale.

Pour vous, quel a été le déclic? 

Le déclic a eu lieu pen­dant le COVID : nos fri­gos débor­daient de yaourts des­tinés à la restau­ra­tion col­lec­tive, soudaine­ment à l’arrêt. Plutôt que de les jeter, nous avons choisi de les don­ner. C’était une évi­dence face à l’urgence et au gaspillage.

De quoi êtes-vous le plus fiers ? 

Nous sommes fiers de lim­iter le gaspillage tout en val­orisant nos pro­duits autrement. Offrir à tous, sans dis­tinc­tion, des yaourts fer­miers Bleu-Blanc-Cœur, c’est pour nous une belle manière de con­juguer qual­ité, sol­i­dar­ité et respect de l’environnement.

Si tu avais une baguette mag­ique, qu’est-ce que tu voudrais voir chang­er ?

Avec une baguette mag­ique, on aimerait trac­er nos yaourts jusqu’à leur dis­tri­b­u­tion finale. Savoir où ils sont con­som­més nous per­me­t­trait de ren­forcer la trans­parence, de val­oris­er l’engagement de nos équipes et de don­ner encore plus de sens à notre démarche.

François Henrard est bénévole au GR1 depuis juin 2024. Il fait partie de ces milliers de bénévoles qui, chaque jour, permettent aux mécanismes de solidarité de perdurer dans un contexte toujours plus hostile.

Com­ment as-tu trou­vé le GR1 ?

Je suis arrivé au GR1 par le biais d’une autre asso, Kipawa, qui organ­ise des pro­grammes de français langue étrangère (FLE). Les participant.e.s sont invité.e.s à faire des mis­sions de bénévolat dans des asso­ci­a­tions mar­seil­lais­es pour pra­ti­quer le français en dehors de la salle de classe. Je suis venu accom­pa­g­n­er trois per­son­nes un mar­di matin pour découper les légumes qui allaient servir aux repas don­nés aux jeunes du GR1 et dis­tribués dans les maraudes. Et ça a été le coup de foudre avec le lieu et les gens qui le font vivre ! 

De quoi es-tu le plus fier ?

Je suis fier de con­tribuer à une cause qui me tient beau­coup à cœur, l’ac­cès à l’al­i­men­ta­tion pour tou.te.s. Et ce qui est bien ici, c’est de voir de manière tan­gi­ble la portée de son action. D’aider à son échelle à découper des légumes, pour aller ensuite dis­tribuer les repas qui en sont directe­ment issus à celles et ceux qui en ont le plus besoin. 

Si tu avais une baguette mag­ique, qu’est-ce que tu voudrais voir chang­er ?

L’en­jeu prin­ci­pal selon moi, c’est le gaspillage ali­men­taire local. Pourquoi pro­duire des repas sol­idaires implique d’acheter des pro­duits quand tant de choses sont jetées ? Les com­munes pour­raient instau­r­er une poli­tique “zéro gaspillage”, avec par exem­ple la récupéra­tion de tous les inven­dus des com­merces et restau­rants. Les munic­i­pal­ités ayant les can­tines sco­laires à leur charge, on pour­rait imag­in­er un sys­tème de ges­tion mutu­al­isée de ces den­rées entre les can­tines et les asso­ci­a­tions qui lut­tent con­tre la pré­car­ité ali­men­taire. 

Mamadou Ciré Diallo est arrivé au GR1 en juin 2024, un lieu ressource pour les mineurs non accompagnés qui propose de nombreuses activités à Marseille. Après avoir participé à la confection de nombreux repas, Mamadou souhaite désormais poursuivre un apprentissage en cuisine.

Com­ment as-tu trou­vé le Gr1  ?

Je suis venu au Gr1 parce que je ne savais pas où aller et je man­quais de moti­va­tion après avoir séjourné à l’hô­tel. On m’avait pro­posé de venir ici, je savais ce que c’était comme endroit, j’avais très faim et j’ai été attiré par l’ac­cueil chaleureux et l’am­biance pos­i­tive.

De quoi es-tu fier depuis ton arrivée au GR1 ? 

Je suis fier d’avoir pu pro­gress­er en cuisi­nant. Je me sens utile en aidant la cui­sine à nous nour­rir tous. Ici, on mange à notre faim. J’ai adoré la nour­ri­t­ure et la cui­sine, notam­ment pré­par­er des plats pour les autres jeunes. Ça m’a don­né de la moti­va­tion et de l’én­ergie pour faire ce tra­vail de pré­pa­ra­tion des repas chaque jour..

Si tu avais une baguette mag­ique, qu’est-ce que tu voudrais voir chang­er ?

Je souhaite que le GR1 reste ouvert pour tou­jours. Aujourd’hui, je suis autonome grâce au GR1 mais il faut que ce lieu con­tin­ue à exis­ter pour les autres et pour les généra­tions futures. D’autres vont venir car on meurt de faim chez nous, on meurt de ne plus avoir d’espoir. Le GR1, c’est un lieu impor­tant et essen­tiel pour les jeunes qui ont besoin de sou­tien et de ressources. Je voudrais que ce lieu existe encore pen­dant 100 ans !

Ghada Saïdi, est arrivée aux Grands Voisins en 2016 comme résidente du centre d’hébergement d’urgence. Accompagnée par les structures présentes sur place et grâce à la mise à disposition de la cuisine de l’un des deux restaurants du site, Ghada a pu démarrer son activité. Neuf ans plus tard, elle gère désormais son propre lieu dans le 10eme arrondissement.

Com­ment as-tu trou­vé Les Grands Voisins? 

J’ai trou­vé Les Grands Voisins grâce à Sihem Habchi, direc­trice d’activités de l’association Aurore qui accom­pa­g­nait les femmes de la Mai­son Marceau autour d’une cui­sine partagée. Par la suite, elle m’a pro­posé un parte­nar­i­at dans un lieu pérenne appar­tenant à la mairie du 10e arrondisse­ment. Désor­mais, nous avons un bail de 6 ans, ce qui change tout pour moi. La sta­bil­ité dont j’avais besoin pour dévelop­per mes savoirs-faire.

De quoi es tu la plus fière ?

Aujourd’hui, je suis très fière d’ouvrir mon restau­rant sol­idaire ouvert sur le quarti­er. Je peux mobilis­er toutes mes com­pé­tences per­son­nelles et réalis­er mon rêve : avoir mon pro­pre lieu et ren­dre la sol­i­dar­ité qu’on m’a don­née.

Si tu avais une baguette mag­ique, qu’est-ce que tu voudrais voir chang­er ?

Je souhaite chang­er la vision qu’on peut avoir des restau­rants sol­idaires en con­tin­u­ant à dévelop­per mon tra­vail en cui­sine. Mon­tr­er que les restau­rants sol­idaires peu­vent être de qual­ité, acces­si­ble, respon­s­able, viable et qu’ils per­me­t­tent au pub­lic de s’in­téress­er à la ques­tion de l’alimentation engagée. 

Infos & Billetterie

Dimanche 8 juin 2025, de 9h à 18h

📍: Académie du Cli­mat — 2 Pl. Bau­doy­er, 75004 Paris

Bil­let­terie

Caravanade, Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Programme itinérant, Activation et accompagnement, Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, En cours, Espace public

Caravanade Marseille Publiée le 05.08.20

En quelques mots

Le pro­jet a pour voca­tion d’accompagner les ini­tia­tives citoyennes sur le ter­ri­toire mét­ro­pol­i­tain et départe­men­tal. Nous pro­posons une panoplie d’outils var­iés à tra­vers cinq car­a­vanes pour per­me­t­tre la réal­i­sa­tion d’actions par­tic­i­pa­tives en plein air, dans tout type d’espace urbain.
Le pro­gramme Car­a­vanade est un dis­posi­tif de sou­tien à ces ini­tia­tives locales, en pro­posant de venir en appui à des acteurs ou groupes soci­aux locaux (asso­ci­a­tions, cen­tres soci­aux, col­lec­tif d’habitants, écoles…), sur une journée ou plusieurs, en met­tant à dis­po­si­tion des out­ils et des com­pé­tences.
Nos actions sont tou­jours ori­en­tées sur l’acquisition de com­pé­tences par le “faire”. Nous avons observé que la réal­i­sa­tion col­lec­tive con­crète est vecteur d’envie et de con­fi­ance en soi. Nous souhaitons que nos pro­jets aient une portée éduca­tive, citoyenne, tech­nique et joyeuse.

Informations clés

Dates
2014-…

En chiffres :

  • 5 car­a­vanes : ate­lier (bois prin­ci­pale­ment), média (projection/radio), cui­sine, ham­mam, scène
  • + de 250 actions depuis la créa­tion
  • + de 40 000h sur le ter­rain
  • une cen­taine de parte­naires sur le ter­ri­toire mar­seil­lais

 

La petite histoire

Car­a­vanade est la mis­sion la plus anci­enne de Yes We Camp, elle a débuté en 2014 ! 

À retenir

  • Notre capac­ité à mobilis­er de l’implication volon­taire pour ces réal­i­sa­tions par­tic­i­pa­tives.
  • La force de la mise en scène par nos car­a­vanes col­orées.
  • La mobil­i­sa­tion col­lec­tive depuis la con­cep­tion jusqu’à la réal­i­sa­tion et l’entretien.
  • Les deman­des nom­breuses d’outils de quartiers : com­pos­teurs, col­lecteurs d’eau de pluie…
  • Le soin apporté par les habi­tants aux objets qu’ils ont con­tribué à con­stru­ire.

En savoir plus

Site Inter­net, Doc­u­men­taire sur Car­a­vanade, Insta­gram

Evénement culturel et artistique, Alimentation et restauration, Coco Velten, Accueil de groupes, Région de Marseille, Bâtiment vacant, Gestion de tiers-lieux, En cours

La Cantine Coco Marseille Publiée le 15.09.20

En quelques mots

La Can­tine de Coco Vel­ten, c’est une cui­sine locale et anti-gaspillage, un lieu accueil­lant et engagé.

Nous util­isons des pro­duits locaux issus de l’agriculture raison­née : légumes cul­tivés par les maraich­ers de Provence, pois­sons pêchés au large des côtes méditer­ranéennes, café bio tor­ré­fié à Mar­seille, bière arti­sanale bio de la Drôme et de Mar­seille.
Nous dévelop­pons égale­ment une pro­duc­tion made in Coco : récolte de miel (ruch­es instal­lées sur le toit),  de champignons -(champignon­nière dans les Archives, au sous-sol), bois­sons fer­men­tées au gin­gem­bre avec les Infil­trés.
Avec les Alchimistes, nous avons engagé une réflex­ion sur la réu­til­i­sa­tion des déchets générés, notam­ment grâce au com­post.

La Can­tine est le prin­ci­pal espace d’ouverture et de cohab­i­ta­tion du pro­jet Coco Vel­ten. Plusieurs publics s’y retrou­vent : les rési­dents, les per­son­nes qui y tra­vail­lent, les voisins et habi­tants du quarti­er, les curieux et les habitués pour les ven­dredis soirs. La Can­tine est un espace d’accueil incon­di­tion­nel : il n’y a pas d’obligation de con­som­mer. Toutes les activ­ités pro­posées sont gra­tu­ites, et il est pos­si­ble d’offrir un café à son voisin grâce au sys­tème de cafés et de repas sus­pendus. 50 repas par jour par­tent en maraude pour les per­son­nes sans domi­cile fixe. Les plats de cette aide ali­men­taire sont issus de la même pro­duc­tion que les plats des­tinés à la vente le midi.

Côté cui­sine, la Can­tine a d’abord un rôle d’incubateur : chaque mer­cre­di, des repas à prix libre sont con­coc­tés par ceux qui le souhait­ent (asso­ci­a­tions, col­lec­tifs, par­ti­c­uliers…). 30% des recettes sont rever­sées aux cuisiniers et 70% dans la cagnotte com­mune, per­me­t­tant de financer des pro­jets pour les Cocos (sor­tie pour les enfants de la rési­dence, for­ma­tion radio…).
Les pro­jets culi­naires Par­chi­ta, les Beaux Mets et Solz­in­ho se sont lancés et sont passés der­rière les fourneaux. La cui­sine est égale­ment ouverte à toute per­son­ne qui souhaite pro­pos­er des ate­liers culi­naires par­tic­i­pat­ifs.

Informations clés

Dates
2019 — …

En chiffres
80 places assis­es,
1 repas prix libre par semaine,
3 postes en inser­tion (résident.e.s de Coco Vel­ten),
50 repas par jour des­tinés aux maraudes.

Bud­get :
300,000 euros,
20% de sub­ven­tion pour finance­ment de l’aide ali­men­taire.

Rap­port du pro­jet d’Aide Ali­men­taire

Partenaires

  • Les infil­trés : pro­duc­tion de bois­sons naturelle­ment fer­men­tées.
  • Yem­ma Yum­my : trai­teur engagé aux saveurs du monde fait mai­son & des pro­duits frais éco-respon­s­ables.
  • La Maraude virage dépé : col­lec­tif sol­idaire de sup­port­ers Mar­seil­lais.
  • Les alchimistes : solu­tion de val­ori­sa­tion des biodéchets en com­post.
  • La Table de Cana (juin 2019) : pro­jet des Beaux Mets. Des per­son­nes du Cen­tre péni­ten­ti­aire des Baumettes en fin de peine ont cuis­inés les lundis et mardis du mois de juin 2019 dans la per­spec­tive de l’ouverture d’un restau­rant au sein de la prison. Après des ses­sions de for­ma­tions, la Can­tine de Coco Vel­ten était le restau­rant d’application.
  • Solz­in­ho (nov 2019 — mars 2020) : restau­ra­tion des Balka­ns, incubé pour assur­er les ser­vices du soir.
  • Par­chi­ta (avril 2019 — avril 2020) : restau­rant Sud améri­cain, incubé à Coco Vel­ten pen­dant 12 mois. 

Parte­naires financiers :

Fon­da­tion de France (2021), Fon­da­tion Vin­ci (2020), Fon­da­tion Car­i­tas (2020), Fond Hash­tag (2020), Fond épi­curien (2020), Haut com­mis­sari­at lutte con­tre la pau­vreté.

 

La petite histoire

Le pre­mier mer­cre­di repas prix libre a été cuis­iné par Mohammed aka Momo, un jeune réfugié soma­lien en mis­sion de ser­vice civique sur les chantiers par­tic­i­pat­ifs au sein de Coco Vel­ten. Momo souhaitait faire décou­vrir les plats de son enfance à tous les Cocos. Le repas prix libre s’est clô­turé par une stand­ing ova­tion. Depuis sa pre­mière incur­sion dans la cui­sine de la Can­tine, il a décou­vert une nou­velle voca­tion et tra­vaille aujourd’hui avec des restau­ra­teurs mar­seil­lais !

En savoir plus

Site inter­net, Face­book, Insta­gram 

Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Programme itinérant, Activation et accompagnement, Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, Passé, Espace public

Cap Fada 3 Martigues Publiée le 30.06.21

En quelques mots

Cap Fada ! C’est le nom de la col­lab­o­ra­tion entre les Marté­gaux et Marté­gales, leurs équipes munic­i­pales et le col­lec­tif Yes We Camp. Ensem­ble, nous œuvrons à créer des espace-temps de lib­erté, des lieux où l’on se sent autorisé à s’impliquer, à se dépass­er. Ce pro­jet c’est aus­si la joie, celle de la fête pop­u­laire, de l’accueil incon­di­tion­nel et de l’aven­ture. Pour la sai­son 3, nous pro­posons de com­bin­er le meilleur des deux pre­mières édi­tions de Cap Fada.

Des pré­parat­ifs fes­tifs
Un pre­mier volet nomade, com­posé de ren­dez-vous aux qua­tre coins de Mar­tigues pour pré­par­er la fête, con­stru­ire le pro­gramme. Une per­ma­nence mobile, le Syn­di­cat Fada, instal­lée à la journée dans les lieux de pas­sage de la com­mune (marché, foire, fêtes de quartiers), pour partager de bons moments, com­mu­ni­quer sur le pro­jet, col­lecter les envies d’implication et dénich­er des por­teurs de pro­jets cul­turels et sol­idaires.

Fin juil­let, une semaine de fête pop­u­laire
Le grand retour de la fête esti­vale ! En 2021, à l’image de l’édition 2019, nous investis­sons la place des Aires et son Théâtre de ver­dure pen­dant une semaine. Les ren­con­tres effec­tuées lors des inter­ven­tions précé­dentes per­me­t­tent de com­pos­er une pro­gram­ma­tion 100% locale, faite de spec­ta­cles, d’ateliers, de débats… Rien à ven­dre, on vient, à la bonne fran­quette, avec sa glacière et son pique-nique. Côté décor : un camp­ing éphémère, au bord de l’étang de Berre, des jeux d’eau et beau­coup d’autres sur­pris­es…

L’originalité de l’année : un ate­lier per­ma­nent de con­struc­tion de radeaux, avec out­ils et matéri­aux à dis­po­si­tion des vis­i­teurs.
Apogée de la sai­son esti­vale de Cap Fada, la Grande Parade sur l’eau clô­ture la semaine par un grand défilé inter-quartiers sur le port de Fer­rières, jusqu’à la place des Aires.

Cap Fada : bilan des trois édi­tions 

Retour en images !

Cap Fada 1 Cap Fada 2

Informations clés

Du 26 juil­let au 1er Août, sur la place des Aires à Mar­tigues

Partenaires

Mar­tigues : Ville — Mai­son de quarti­er — Cer­cle de voile — MJC
ASTI (Asso­ci­a­tion de Sou­tien au Tra­vailleurs Immi­grés)

A retenir

  • Une col­lab­o­ra­tion fer­tile entre Yes We Camp, les habi­tants d’une ville moyenne et leur Ser­vice Cul­turel.
  • Un pro­jet cul­turel basé sur l’au­todéter­mi­na­tion et l’implication volon­taire, de la pro­gram­ma­tion artis­tique à l’ équipe de mise en œuvre.
  • Un dis­posi­tif cal­i­bré à l’échelle d’un ter­ri­toire : tournée de fêtes de quarti­er, puis fes­ti­val d’une semaine réu­nis­sant les acteurs impliqués.

En savoir plus

Face­book Insta­gram

Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, Passé, Espace public

Camping 2013 Marseille Publiée le 22.06.20

En quelques mots

2013, Mar­seille cap­i­tale de la cul­ture ! Quelques artistes, activistes, archi­tectes… ont l’idée de créer un lieu-événe­ment autour de deux valeurs : hos­pi­tal­ité et créa­tiv­ité. Ain­si né “Yes We Camp”, une miniville-camp­ing déployée pen­dant huit mois sur le port de l’Estaque, pen­sée, con­stru­ite, ani­mée, gérée, puis décon­stru­ite, par des cen­taines de volon­taires venus de plusieurs pays. Tous les soirs de l’été, 200 per­son­nes y passent la nuit, des voisins, des touristes ou des artistes, des back­pack­ers et des familles. Sur site, douch­es solaires avec phy­toépu­ra­tion végé­tale, fontaines, car­a­vanes pim­pées, bru­misa­teur géant, rési­dences d’artistes, con­certs… 

Ain­si Yes We Camp s’est créé avec l’énergie d’un pro­jet qui aurait pu être unique ! Ces huit mois intens­es ont fab­riqué les fon­da­men­taux de notre mode opéra­toire : déploiement pro­gres­sif, partage des tâch­es, rôle struc­turant des artistes, diver­sité des publics, atten­tion portée aux moments col­lec­tifs, dynamique parte­nar­i­ale, courage, cœur à l’ouvrage et sol­i­dar­ité d’équipe. 

 

Informations clés

Dates
De jan­vi­er à novem­bre 2013

Fréquen­ta­tion
3 000 nuitées ven­dues
50 000 vis­i­teurs
500 bénév­oles

Bud­get
500 000 € dont 80% d’autofinancement

En chiffres
120 jours d’ou­ver­ture
6036 mer­guez mangées
350 000 litres d’eau économisés grâce aux toi­lettes sèch­es

Partenaires

Parte­naires financiers
Mar­seille Off 2013, Région PACA, Fon­da­tion Abbé Pierre, Fon­da­tion Kro­nen­bourg,  L’APAVE

Mécènes
Lay­her, Sylvestre Groupe, Ielo, SEDES, Savoner­ie du Midi, Led-Prix, Gilles Fer­rer Con­struc­tion, Pépinière Roubaud, Toilitech, Brico-Dépot, Ser­am, BC stud­ies, Dolce Retro, Eco­log­ic, La gri­hète, SFML, Ciffréo Bon­na

Parte­naires insti­tu­tion­nels
MP2013, Mairie du 15/16,Grand Port Mar­itime de Mar­seille, Batail­lon des Marins Pom­piers de Mar­seille, Fédéra­tion des asso­ci­a­tions de com­merçants et des arti­sans du 15/16, Direc­tion des Trans­ports du Con­seil Région­al, CIQ de l’Estaque, Agence Proven­cale pour une économie Alter­na­tive et Sol­idaire, Inter­made, ENSA Mar­seille, CAUE13, La Friche de la Belle de Mai, Théa­tre du Mer­lan

Parte­naires locaux et asso­ci­at­ifs
Emmaus, Tha­las­san­té, ADDAP 13, Ecole de la Deux­ième CHance, Cen­tre Pop­u­laire de l’Enseignement, Foy­er mineurs UEHC, Mai­son de l’Apprenti, Unis-Cités, Cen­tre social Estaque-Riaux, CRIJCA, Impulse Toit, Han­destau, SICHEM, ARC Asile, Epluchures Mar­seille, Vélo utile, Vélo en Ville, Art­stock, AMS, Eco­mo­tive, Cha­bal­ab, Globkid, Bel­la­s­tock, Val­coucou, GR2013, Cabanon Ver­ti­cal

La petite histoire

La veille du ren­dez-vous décisif avec le directeur du Port de Mar­seille pour obtenir l’autorisation de déploiement du pro­jet, nous avons réus­si à faire la Une du jour­nal La Provence, avec une pho­to de l’équipe por­tant un ex-voto à la Bonne Mère et le titre : “Le Camp­ing de la Cul­ture ils y croient !”.

À retenir

  • Un lieu d’hébergement éphémère pour un événe­ment d’échelle européenne sur un site disponible.
  • Un pro­jet fondé qua­si unique­ment sur une par­tic­i­pa­tion volon­taire et col­lec­tive.
  • Un grand événe­ment MP2013 dans les quartiers Nord, en faisant par­ticiper les publics en dif­fi­culté.
  • Un lieu-lab­o­ra­toire pour accueil­lir des pro­to­types low-cost.

En savoir plus

Plus de pho­tos

Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Programme itinérant, Activation et accompagnement, Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, Passé, Espace public

Cap Fada 1 Martigues Publiée le 11.06.20

En quelques mots

Du 23 au 28 juil­let 2019, Yes We Camp pro­pose un nou­veau type d’expérimentation de l’espace pub­lic, en plaçant au cen­tre l’implication et la par­tic­i­pa­tion du pub­lic à la pro­gram­ma­tion pro­posée sur l’esplanade des Aires, au cen­tre de Mar­tigues. Ham­mam, open-bar­be­cues, jeux et bru­misa­teur géant… Autant d’installations inso­lites pour se déten­dre, manger voire même dormir sur place, face à l’étang de Berre.

Cap Fada : bilan des trois édi­tions 

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Cap Fada 2 Cap Fada 3

Informations clés

Dates
Du 23 au 28 juil­let 2019

Con­struc­tions
2 radeaux con­stru­its par Con­struct Lab
20 plate­formes en bois pour accueil­lir des tentes au bord de l’étang de Berre

Événe­ments itinérants
6 micro-aven­tures organ­isées à tra­vers le ter­ri­toire

Principaux partenaires

Mairie de Mar­tigues
Com­mande de la Mairie dans le cadre du fes­ti­val esti­val “Fada du monde”

Con­struct Lab
Con­struc­tion de radeaux sur site puis mise à l’eau fes­tive

Les vélos des Etangs
Mise à dis­po­si­tion de 9 vélos pour la semaine et pour les micro-aven­tures

La petite histoire

Par­mi les nom­breuses activ­ités pro­posées tout au long de la semaine, un ate­lier de sculp­ture sur mel­on a eu lieu à CAP FADA, organ­isé par une bénév­ole venue de Mul­house. Gros suc­cès pour une activ­ité encore inédite sur un pro­jet Yes We Camp !

Plus d’informations

Les Gazettes de la semaine, La revue de presse, Plus de pho­tos

Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Programme itinérant, Activation et accompagnement, Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, Passé, Espace public

Cap Fada 2 Martigues Publiée le 14.09.20

En quelques mots

Pour sa deux­ième édi­tion, l’événe­ment pop­u­laire Cap Fada s’adapte et se trans­forme en un grand con­cours de radeaux à Mar­tigues !
De juil­let à sep­tem­bre 2020, Yes We Camp provoque l’organisation d’une série de fêtes de quartiers aux qua­tre coins de la ville. À chaque événe­ment, les habi­tants s’organisent pour pré­par­er des repas, s’exprimer sur scène ou accueil­lir des artistes. À cha­cune des dates, un col­lec­tif de con­struc­teur accom­pa­gne le quartiers dans la con­struc­tion d’une embar­ca­tion déli­rante. 

En sep­tem­bre, Cap Fada réu­nit l’ensemble des quartiers et leurs radeaux pour un week­end de pure folie. En guise de bou­quet final, une grande parade sur l’eau, sur le canal cen­tral de Mar­tigues !

Cap Fada : bilan des trois édi­tions 

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Cap Fada 1 Cap Fada 3

Informations clés

Dates
Tournée du 15 juil­let au 15 sep­tem­bre 2020
26 & 27 sep­tem­bre 2020 : la grande parade

En chiffres
8 radeaux con­stru­its
1200 repas pré­parés  par les quartiers
1500 par­tic­i­pant à Cap Fada
100 per­son­nes sur l’eau pour la parade

Principaux partenaires

Mairie de Mar­tigues
Com­mande de la Mairie dans le cadre du fes­ti­val esti­val “le bel été marté­gal”

Le Cer­cle de Voile de Mar­tigues 

Les Maisons de Quarti­er de Mar­tigues

À retenir

  • Stim­uler les capac­ités accueil­lante des quartiers en finançant une pro­gram­ma­tion et une restau­ra­tion locale.
  • L’idée du con­cours de radeau comme un fil con­duc­teur pour tra­vailler au coeur des quartiers puis les réu­nir tous autour d’un évène­ment col­lec­tif.
  • Le tra­vail croisé entre ser­vice d’une mairie, acteur tiers et maisons de quartiers.

Plus d’informations

Plus de pho­tos

Jardin des Héros, Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Accueil de groupes, Jardinage et agriculture urbaine, Terrain de plein air, Région de Marseille, Gestion de tiers-lieux, Passé, Hébergement social et insertion

Le Jardin des Héros Marseille Publiée le 07.08.20

En quelques mots

À deux pas de la Gare Saint-Charles, caché der­rière de hauts murs, se trou­ve un secret bien gardé : un jardin sus­pendu, comme préservé du temps et de l’an­i­ma­tion de la ville.

À la demande de la Fon­da­tion Les Petits Frères des Pau­vres, l’équipe de Yes We Camp a ouvert en douceur cet îlot de ver­dure à ses habi­tants et à son voisi­nage. Une aven­ture col­lab­o­ra­tive, intergénéra­tionnelle et con­textuelle.

Informations clés

Dates :

  • Juin 2020-juil­let 2021

En chiffres :

  • 1200 mètres car­ré,
  • 1 bar­be­cue,
  • 20 habi­tants,
  • 40 per­son­nes impliquées sur la gou­ver­nance. 

Partenaires

Les petits Frères des Pau­vres
Accueil­lir et financer l’in­ter­ven­tion de Yes We Camp pour activ­er un usage partagé du jardin entre des per­son­nes âgées isolées et le voisi­nage.

Jardin de la rotonde

L’école pri­maire des abeilles

Le cen­tre d’animation des abeilles

La petite histoire

Le Jardin des Héros, dont la struc­ture a très peu été mod­i­fiée, con­stitue une des dernières reliques de la colline Saint-Charles à Mar­seille. On pour­rait dire que c’est ici que tout a com­mencé,  au VIe mil­lé­naire avant notre ère, lorsque  les pre­miers “Mar­seil­lais”, des chas­seurs-cueilleurs, s’y instal­lent …

À retenir

  • Ouvrir par­tielle­ment au pub­lic un espace vert privé et y dévelop­per une gou­ver­nance partagée entre les usagers.
  • Tra­vailler sur le lien intergénéra­tionnel entre les enfants et des per­son­nes âgées isolées.
  • Pré­fig­ur­er la nais­sance d’un espace com­mun par une rési­dence d’activation.

En savoir plus

En écrivant à jardin@yeswecamp.org !

Jardinage et agriculture urbaine, Terrain de plein air, Région de Marseille, Bâtiment vacant, Gestion de tiers-lieux, Passé, Hébergement social et insertion

Village Club Soleil Marseille Publiée le 16.09.20

En quelques mots

La prob­lé­ma­tique de l’hébergement d’urgence pour les per­son­nes à la rue a explosé à Mar­seille avec la crise san­i­taire. Une péri­ode dif­fi­cile pour les plus pré­caires, qui a révélé des insuff­i­sances du ter­ri­toire sur la ques­tion.  À l’initiative de Mar­seille Solu­tions, un col­lec­tif sol­idaire s’est créé afin de trou­ver des héberge­ments d’urgence pour les per­son­nes sans-abris. L’association a donc réu­ni autour d’elle des acteurs de la san­té, de l’aide sociale, de l’immobilier et de la mobil­i­sa­tion citoyenne (Le Club Immo­bili­er Mar­seille Provence, Yes We Camp, l’AP-HM, Nou­velle Aube, JUSTet Médecins du Monde)

Sol­lic­ité par le Club Immo­bili­er Mar­seille Provence, les Vil­lages Clubs du Soleil ont été les pre­miers à avoir répon­du favor­able­ment. Dès le 4 mai 2020, 180 per­son­nes sans-abri ont ain­si pu être accueil­lies pour une péri­ode de deux mois dans le com­plexe hôte­lier de la Belle de mai.

Yes We Camp assure l’intermédiation avec l’État, l’hôtelier, et gère l’accueil des rési­dents. Nou­velle Aube et JUST s’occupent de l’accompagnement médi­co-social des hébergés.

Informations clés

Dates
4 mai- 26 juin 2020

En chiffres
180 per­son­nes sans ressources
53 enfants pour  6 vélos
0 cas de covid
1 défilé de mode
40 chanteurs d’Afrimayé

Partenaires

JUST : col­lec­tif de chercheurs et pro­fes­sion­nels de ter­rain expéri­men­tant des solu­tions con­crètes sur le front de la jus­tice sociale. L’outil priv­ilégié de l’association est la recherche-action par­tic­i­pa­tive.

Nou­velle Aube : asso­ci­a­tion ayant pour but la préven­tion, la Réduc­tion Des Risques et des dom­mages ain­si que la pro­mo­tion de la san­té auprès d’un pub­lic jeune, frag­ilisé, stig­ma­tisé, vivant en squat en rue, en abri et en prison.

En savoir plus

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Evénement culturel et artistique, Architecture et chantiers participatifs, Patrimoine remarquable, Alimentation et restauration, Accueil de groupes, Terrain de plein air, Région de Marseille, Intervention artistique et culturelle, Passé, Espace public

Mucem plage Marseille Publiée le 15.09.20

En quelques mots

Sans bar­rière ni tick­et d’entrée, MuCEM Plage pro­po­sait de trans­former l’esplanade du J4 par la créa­tion d’installations éphémères, généreuses et rassem­bleuses, toutes conçues avec des exi­gences de sobriété et de réem­ploi des matéri­aux, per­me­t­tant cha­cune des usages col­lec­tifs en extérieur : échang­er à l’ombre, se rafraîchir, pré­par­er et partager le repas, déam­buler, veiller à l’écoute des con­tes, pein­dre, jouer aux boules et pra­ti­quer des sports, prof­iter du soleil aux extrémités du jour. Ces usages sont pour nous les dénom­i­na­teurs com­muns, tous milieux soci­aux con­fon­dus, d’une cul­ture méditer­ranéenne que nous avons souhaité met­tre en scène, avec autant de passerelles pos­si­bles avec le pro­pos et les col­lec­tions du MuCEM.

Informations clés

Dates
Pré­pa­ra­tion jan­vi­er 2015 à juin 2015

Pro­jet non réal­isé.

En chiffres
10 m de bar­be­cues en libre ser­vice
12000 cartes postales créées par des artistes mar­seil­lais
350 heures de moments partagés
5m50 la hau­teur de votre sieste en hamac
11 points d’eau pour se rafraîchir et arroser les plantes
350 toiles pour com­pos­er la galerie de pein­ture par­tic­i­pa­tive
54h de pro­gram­ma­tion noc­turne