Le projet

Coco Vel­ten

Une expéri­men­ta­tion sociale auda­cieuse.

Coco Vel­ten est le pro­jet d’occupation tem­po­raire des locaux de l’ancienne Direc­tion des Routes, rue Bernard du Bois à Mar­seille. Ce bâti­ment de 4000 m² appar­tenant à l’Etat est en cours de rachat par la Ville de Mar­seille afin de péren­nis­er les dif­férents usages du lieu sur le long terme. 

Situé à l’interface de la Porte d’Aix et de la Gare Saint Charles, avec le quarti­er de Bel­sunce, Coco Vel­ten per­met d’ouvrir une rési­dence sociale de 80 places pour des per­son­nes sans domi­cile fixe, une can­tine sociale ain­si que plusieurs espaces com­muns (un toit pépinière, une salle de spec­ta­cle, un Ate­lier de brico­lage partagé, etc.), et 800m² de bureaux et ate­liers per­me­t­tant l’accueil de 42 struc­tures (artistes, arti­sans, asso­ci­a­tions, entre­pre­neurs soci­aux, etc). Le pro­jet est piloté par 3 asso­ci­a­tions : Yes We Camp (coor­di­na­teur du pro­jet et por­teur du bail), Plateau Urbain (ges­tion et ani­ma­tion de la com­mu­nauté des ate­liers-bureaux), le Groupe SOS Sol­i­dar­ités (ges­tion de la rési­dence sociale). 

Yes We Camp coor­donne le pro­jet, la direc­tion tech­nique du site, la pro­gram­ma­tion cul­turelle et artis­tique dans et hors les murs, l’accueil des vis­i­teurs et développe la cohé­sion et la mix­ité des publics. L’association pro­pose des lieux de con­vivi­al­ité inclusifs. L’ensemble des pro­jets qu’elle mène sont co-con­stru­its et portés avec plusieurs acteurs.  

Le mod­èle économique de Coco Vel­ten repose à 2/3 sur de l’aut­o­fi­nance­ment. Celui-ci est issu d’un pour­cent­age des recettes de notre can­tine, des loy­ers des ate­liers bureaux, des con­tri­bu­tions aux charges de la rési­dence sociale et des loca­tions de salles. 

Les loca­tions de salle con­tribuent à l’équili­bre financier et budgé­taire du pro­jet. Ces recettes pren­nent en charge des salaires, les flu­ides, la pro­gram­ma­tion et l’an­i­ma­tion du site (tou­jours gra­tu­ite ou à prix libre) qui per­me­t­tent de créer des passerelles avec les rési­dents et les ate­liers bureaux.

Le poste

Le.la Respon­s­able pri­vati­sa­tion de Coco Vel­ten porte le pilotage des pri­vati­sa­tions au sein du pro­jet, il.elle exercera les mis­sions suiv­antes :

Ges­tion des pri­vati­sa­tions :

• Gér­er la pri­vati­sa­tion des dif­férents espaces (halle, annexe, can­tine, toit, archives) : répons­es aux sol­lic­i­ta­tions, ges­tion des réser­va­tions et des deman­des d’informations

• Co-organ­is­er les événe­ments privés ayant lieux sur le site  (sémi­naire, for­ma­tions, soirée de fin d’année, cock­tails, mariage, anniver­saire, tour­nage de clips, etc.) en s’appuyant sur les services/structures présents sur le site
• Suivi logis­tique et opéra­tionnel des pri­vati­sa­tions
• Suivi de pro­duc­tion des événe­ments (ges­tion de dif­férents prestataires et élab­o­ra­tion des feuilles de route ) 
• Accueil des événe­ments et des équipes
• Tra­vail en lien étroit avec la pro­gram­ma­tion cul­turelle gra­tu­ite du lieu 
• Encadrement d’une per­son­ne en stage longue durée
• Encadrement d’un.e agent d’entretien, suivi réguli­er du planning/gestion des stocks ménage

Ges­tion admin­is­tra­tive et finan­cière :

• Mise à jour et ges­tion des plan­nings de mise à dis­po­si­tion des espaces.
• Emis­sion et suivi des devis/factures et des paiements,

Coor­di­na­tion com­mer­ciale

• Tenir et met­tre à jour un cat­a­logue des ser­vices de pri­vati­sa­tion,
• Dif­fuser l’offre et prospecter auprès des entre­pris­es ou des sociétés de pro­duc­tion,
• Met­tre en place des parte­nar­i­ats avec diverse struc­tures pour des team build­ings, presta­tions trai­teur et autres évène­ments

Par­tic­i­pa­tion à la vie quo­ti­di­enne du pro­jet

• Réu­nions d’équipe
• Tâch­es com­munes à Coco Vel­ten : ser­vice au bar une fois par semaine

Candidatures

Pour pos­tuler, envoyez votre CV et let­tre de moti­va­tion à bonjour@cocovelten.org et rh@yeswecamp.org avec “Can­di­da­ture Respon­s­able Pri­vati­sa­tion — Coco Vel­ten” en objet de mail.

Yes We Camp s’engage en faveur de la diver­sité cul­turelle, l’égalité entre les gen­res et l’emploi des travailleur·euse·s en sit­u­a­tion de hand­i­cap.